
Des réfugiés palestiniens fuyant leurs foyers en 1948 [couverture de The Birth of the Palestinian Refugee Problem, par Benny Morris (Domaine public, Commons Wikimedia)]
Des réfugiés palestiniens fuyant leurs foyers en 1948 [couverture de The Birth of the Palestinian Refugee Problem, par Benny Morris (Domaine public, Commons Wikimedia)]
Depuis plus de 70 ans, la tradition sioniste de judaïsation des terres et de ségrégation résidentielle entre citoyens juifs et non juifs enracine l’apartheid en Israël
Que diriez-vous d’une ville blanche quelque part en Europe qui gèlerait un appel d’offres pour des parcelles de terrain dans un nouveau quartier parce que cela risquerait de permettre à des noirs d’y emménager ? Diriez-vous qu’elle est raciste ? Que penseriez-vous du maire de la ville s’il assumait sans ambages cette décision en invoquant l’objectif de préserver le « caractère blanc » de sa communauté ? Que c’est un fanatique ?
Ilan Pappe The Electronic Intifada 18 avril 2017
Des femmes retournant aux ruines de leurs maisons dans le camp de réfugiés de Jénine en Cisjordanie occupée, après le retrait des forces israéliennes qui avaient attaqué le camp presque deux semaines plus tôt, le 18 avril 2002. Kael Alford KRT/Newscom
Nous sommes des citoyens israéliens, actifs en faveur des droits de l’homme, de la paix et de la démocratie en Israël. Nombreux sont ceux qui, parmi nous, ont assisté à la politique violente et raciste appliquée actuellement par Israël contre des millions de Palestiniens. L’un des principaux hommes politiques israéliens derrière ces décennies d’oppression n’est autre que le président israélien Shimon Peres. Monsieur Peres n’est pas un homme de paix et il ne s’exprime pas en notre nom !
Shimon Peres, vieux routiers de la politique israélienne, très amis avec les dirigeants sud-africains à l’époque de l’apartheid
Par Amira Hass
Publié par Alencontre le 28 – août – 2016
Soldats israéliens dans le camp de réfugiés d’Al-Fawwar le 16 août 2016
Les petits-enfants et arrière-petits-enfants de ceux qui avaient procédé aux expulsions de 1948 [1] pointent leurs fusils sur les petits-enfants et arrière-petits-enfants de ceux qui avaient été expulsés.
Tous les Israéliens qui brisent le silence sur l’occupation et les autres crimes accomplissent leur devoir patriotique, humain et moral. C’est la raison pour laquelle le leader de Yesh Atid, Yaïr Lapid, les craint tellement.
Un certain nombre de militants de la solidarité avec la Palestine ont reçu un courriel de menaces de la part d’un groupe se faisant appeler la « Brigade juive ».
Toute personne recevant ce courriel ou un courriel similaire ne devrait cliquer sur aucun des liens qu’il contient et ne devrait ouvrir aucune pièce jointe.
Ces courriels peuvent contenir un « malware » – un programme malintentionné utilisé pour nuire à des usagers de PC et compromettre des réseaux.
Ils devraient renseigner aux autorités locales tout ce qu’ils perçoivent comme une menace.
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